Pourquoi l’Équipe Adrien Pouliot – Parti conservateur du Québec

by

tagL’Équipe Adrien Pouliot, Parti Conservateur du Québec (PCQ) n’est pas un parti très connu  par les électeurs. Un nouveau parti, mené par d’anciens Adéquistes qui ne se sont pas reconnu dans l’appel de la CAQ. Il y a 1 mois, je me sentais orphelin politique, et j’ai donc décidé de voir les alternatives qui s’offraient à moi et à l’ensemble des électeurs du Québec.

Mes motivations politiques

En 1998, j’ai été le premier candidat a défendre les couleurs de l’ADQ dans le comté Richelieu. Je croyais peu en mes chances de gagner, mais je trouvais essentiel de défendre les idées du Parti.

J’avais alors 27 ans, j’étais un peu naïf, et j’avais beaucoup à apprendre. Je ne me situais même pas à gauche ou à droite, mais ce qui m’avait interpellé c’était le discours concernant la dette.

Un calcul simple, plus la population active approche l’âge de la retraite, moins il restera de gens pour travailler. Moins de travailleur, moins de revenus pour l’état mais explosion des coûts de santé pour desservir une population donc l’espérance de vie augmente continuellement. Sans compter le fardeau que l’état Québécois se verrait dans l’obligation d’affronter pour les fonds de pension, et de même pour plusieurs entreprise privé.

Le pont entre les générations ne semblait pas vouloir se faire, mon fils alors âgé de 2 ans avait un avenir devant lui, mais lequel, je voulais travailler à lui offrir ce qu’il y avait de mieux.

Malheureusement, depuis ce temps, nous avons refusé de prendre la situation de front, nous avons préféré repousser à plus tard. Malgré la loi du déficit zéro, la dette augmente sans arrêt, non seulement nous sommes incapable de payer la dette, nous sommes même incapable d’arrêter d’en mettre sur le compte.

À ce moment, en 1998, la dette frôlait les 100 milliard. Un chiffre démesuré! Juste pour le plaisir avez-vous déjà compté le nombre de 0 dans 100 milliard!! (Onze zéros) Depuis ce temps elle à plus que doublé, se chiffrant maintenant à plus de 260 milliard!

La situation de notre dette ne c’est pas vraiment amélioré. Vous trouverez des gens pour vous dire que nous ne sommes pas trop mal placé puisque le pourcentage de la dette face à notre PIB réduit, ce serait comme dire, c’est pas grave que je rajoute de l’argent sur ma carte de crédit, puisque mon salaire augmente! Mais même si le ratio de ma dette change, je ne suis pas plus riche et je devrai un jour ou l’autre faire face à mon obligation.

Un constat inquiétant

Il est temps de donner un grand coup avant qu’il soit trop tard, selon le site de l’institut de la statistique du Québec, il est évident que nous serons de moins en moins nombreux pour supporter le budget du Québec. Les obligations augmentent sans cesse, mais le tableau ci-dessous démontre clairement que nos enfants, les moins de 25 ans, seront très peu nombreux pour faire face au choc démographique que nous subirons inévitablement dans le prochain quart de siècle!

repartition

Pire encore, le nombre de citoyen augmente moins vite au Québec que pour le reste du Canada, ce qui nous rend beaucoup moins attirant pour des immigrants potentiels

croissance 30-13

Si nous voulons corriger la situation, il faut alléger les obligations des citoyens. Il faut surtout faire du Québec une nation prospère et invitante pour des promoteurs, investisseurs, développeurs, des créateurs d’emplois des générateur de richesse.

 

 

Les solutions de droite et du PCQ

Je vous recommande de lire l’ensemble du programme du PCQ. Moi c’est au niveau des valeurs que j’adhère sans hésiter. Je crois que le gouvernement s’impose à beaucoup trop d’endroit dans nos vies.  Pour le PCQ, il est essentiel de bien définir le rôle de l’état, les rôles essentiels que l’état doit jouer

« Le rôle du gouvernement est essentiel mais nous ne croyons pas que l’étatisme soit une solution universelle à tous les problèmes. La mission principale de l’État est de protéger les droits et libertés individuels, administrer la justice civile, criminelle et pénale, investir dans les infrastructures publiques, intervenir en cas de catastrophe naturelle et créer les conditions propices pour que les citoyens puissent s’épanouir et exercer leurs talents. L’État et la charité privée viennent en aide aux citoyens les plus démunis qui sont incapables de subvenir à leurs besoins. L’aide gouvernementale est alors bien ciblée et axée vers un retour graduel à l’autonomie lorsque cela est possible. Les institutions de la société civile, telles la famille et les organisations caritatives (religieuses ou séculières), communautaires ou coopératives, sont généralement mieux placées que l’État et ses règles bureaucratiques pour venir en aide aux membres de la société qui sont dans le besoin. »

Je souhaite prendre une part active à l’éclosion du PCQ à travers le Québec. Il faut que les idées du parti soient présentées à l’ensemble des électeurs. Si cette fois ce sont 500 personnes qui prennent le temps de lire et d’adhérer ce sera 500 de plus, des personnes qui à leur tour deviendront des ambassadeurs.

Développer un parti politique fort pour construire le Québec de demain, ce n’est pas un sprint où on saupoudre des millions de cadeau à quelques jours d’une élection pour acheter les électeurs. C’est au contraire, travailler jour après jour, sans relâche, pour gagner la confiance des citoyens qui constateront des résultats concrets par notre travail acharné.

 

Laisser un commentaire